Flowers 2.0 était en parfaite résonance avec ce lieu si particulier qu’est le Parvis de la Défense pendant le Festival Atmosphère en Avril 2013.
Emblème de transformation, l’installation nous renvoyait vers une nature mutante, qui aurait poussé sur ce sol de ciment et de business, graine d’internet, de communication et de consommation.
Un réel symbole de notre nouvelle ville en accord avec ces tours et ce ciel harmonieusement gris et ces passants toujours pressés.
Une nature fantastique et poétique comme beaucoup d’œuvres de Pierre Estève, artiste multiforme tourné vers le langage, les sons, les modes d’expression aux confins de la musique, du land art et de la spiritualité. Encore une preuve, s’il le fallait, que l’art peut aussi contribuer efficacement au langage « vert ».